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La SNCF, le Basket, la société, la politique...
En bref : MES TAS DE TRUCS ;)

L'arrêt de mon affaire a été rendu.
- Je suis condamné pour 'refus d'obtempérer' à 150Euros d'amende.
- Je dois en plus 83Euros à la SNCF au titre du PV initial.
- La SNCF a complètement été déboutée de son atteinte à l'image concernant l'arrêt de 20mn en Gare de Moirans. Pour info, elle demandait 2000Euros de dommages et intérêts à ce titre.
- Je dois débourser, au titre de remboursement des frais de justice, 500Euros à la SNCF. Pour info, la SNCF demandait 1000Euros à ce titre.

Un pourvoi en Cassation a été initié.

Je ne ferai pas plus de commentaires sur le dossier en cours, car ce blog est lu et est même très lu par les avocats de la SNCF, qui, n'ayant rien à se mettre sous la dent sur le fond de l'affaire, traquent le moindre de mes dérapages sur ce blog ;)

Donc, pour le moment, je me tais... Mais n'ayez crainte : ce n'est pas parce que je ne parle plus de cette affaire sur ce blog, que je n'en parlerai plus jamais ;)

Il y a énormément de choses à dire et je les dirai en temps et en heure : d'ici là... patience ;)

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De la pub




16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 07:00
La politique de Sarko est mauvaise car la mère des réformes, la maîtrise des dépenses publiques à échoué de manière extraordinaire.

Il faut donc se rendre à l'évidence : Sarko ne peut obtenir la moyenne si on le note sur son action à la tête de l'Etat. En effet, il se devait se rabaisser de manière substancielle le déficit public, or, c'est tout le contraire qui a eu lieu : il a explosé !

La note est donc sans appel : 05/20 "Elève en grande difficulté, stupide et bien trop sûr de lui ! Doit se reprendre et faire montre d'humilité".

Un article du journal 'Le Monde' daté du 06 Mai 2009

*******

L'insoutenable explosion de la dette publique française

QUE faire face à la flambée de l'endettement public ? Et comment s'assurer " la maîtrise des finances publiques pour sortir de la crise la tête haute " ? A ces questions, le ministre du budget, Eric Woerth, oppose invariablement les mêmes réponses : la non augmentation des impôts " dans un pays où la pression fiscale est trop élevée " et la diminution de la dépense publique, dont la France est la championne en Europe.

Mais plus l'endettement public croît, moins la ligne définie par le président de la République semble compatible avec le redressement à moyen terme des comptes publics. C'est ce qu'ont implicitement souligné les participants au colloque organisé, lundi 4 mai à Bercy, par Fondafip, l'association pour la fondation internationale des finances publiques.

Avec leurs déficits publics oscillant entre 10 % et 17 % du produit intérieur brut (PIB) en 2009 et 2010, le Royaume-Uni, l'Irlande et l'Islande paraissent à première vue bien plus lourdement handicapés que la France qui affiche un déficit tournant autour de 7 %. Mais notre pays ressemble " à un marathonien lesté d'un sac de pierres ", a fait valoir le premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin. La dette publique française, qui s'élevait à 68 % du PIB à la fin 2008, représente 52 000 euros par Français actif. Le taux d'endettement poursuit spontanément sa croissance et la charge de la dette absorbe peu ou prou le montant de l'impôt sur le revenu. Comme l'a rappelé M. Séguin, la dette publique de la France était de 40 % du PIB à la veille de la récession de 1993, plus courte et plus limitée que la crise actuelle. " Or à l'époque, le taux d'endettement avait bondi de 20 points. " C'est moins cette dégradation des finances publiques en temps de crise, " sans doute inévitable ", que " la spécificité française - ne pas avoir su en amont profiter des périodes de croissance pour redresser les comptes - ", qui préoccupe le premier des magistrats financiers.

A en croire les prévisions des organismes internationaux, FMI en tête, la récession va propulser la dette des pays avancés du G 20 autour de 100 % du PIB en moyenne à l'horizon de 2014, a indiqué l'économiste Alain Quinet. " Ramener ce taux d'endettement à 80 % impliquera un effort énorme ", a-t-il fait remarquer en soulignant la difficulté, pour les pouvoirs publics, de " réduire les déficits sans compromettre la reprise et le potentiel d'offre " de l'économie française. " La dette s'auto-alimente. Dans certains pays, elle pourrait atteindre 125 % du PIB à l'horizon de dix ans. En France, il faudra faire un très gros effort pour la remener à 60 % du PIB ", a renchéri Carine Bouthevillain, de la Banque de France. " Toutes choses égales par ailleurs, il faudrait stabiliser les dépenses en volume sur 15 ans pour y parvenir ", a-t-elle ajouté. Du jamais vu dans l'histoire budgétaire.

En France, a déploré l'UMP Gilles Carrez, rapporteur général de la commission des finances de l'Assemblée, la dépense publique (53 % du PIB) est d'une " rigidité extraordinaire ". La révision générale des politiques publiques (RGPP), a-t-il précisé, ne porte que sur un cinquième de la dépense publique et le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ne suffit pas à la réduire. " Il faut s'attaquer à la dépense sociale ", a-t-il plaidé.. " Pour le moment, a ajouté M. Carrez, mon ambition est d'obtenir que l'on ne finance pas les prochaines baisses d'impôts (TVA à taux réduit pour la restauration et réforme de la taxe professionnelle) par de la dette. Sinon, les dernières digues sauteraient. "

Mais contrairement à la ligne officielle, M. Carrez n'exclut pas une augmentation " temporaire " des recettes. " Nous n'éviterons pas l'augmentation des impôts et surtout des contributions sociales. Je pense d'abord à la contribution de remboursement à la dette sociale (CRDS) ", a-t-il précisé.

Claire Guélaud
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15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 07:00
C'est un super article que voilà. On y fait l'inventaire complet de l'action Sarkozyenne depuis son accession au pouvoir jusqu'à maintenant, sans concession et sans langue de bois !

Du très bon travail que cet article !

Un article du journal 'Le Monde' daté du 5 Mai 2009

**************

Des réformes à tout-va
L'Elysée a multiplié les projets. Quels sont ceux qui ont abouti ? Quels sont ceux auxquels le président a dû renoncer ? Premier bilan

Deux ans après l'élection de Nicolas Sarkozy, un nombre impressionnant de réformes de structure a été lancé. Nombre d'entre elles sont inachevées. La plupart, notamment dans le domaine économique et social, ne vont pas aussi loin que l'avait souhaité le président. Pour son entourage, leur succès se mesurera à la capacité de la France à sortir de la crise en même temps que ses principaux partenaires, et non pas après eux.

CE QUI A CHANGÉ

La réforme des institutions. Nicolas Sarkozy avait fait de la réforme des institutions une de ses priorités. Le 21 juillet 2008, le projet de loi constitutionnelle modernisant les institutions de la Ve République a été adopté par le Congrès du Parlement par 539 voix contre 357, soit une voix de plus que la majorité requise. Suivant les recommandations du comité présidé par Edouard Balladur, la Constitution révisée autorise le président de la République, qui ne peut désormais exercer plus de deux mandats successifs, à prendre la parole devant le Parlement réuni en Congrès.

Les droits du Parlement sont renforcés afin qu'il dispose d'une plus grande maîtrise de son travail législatif et de ses activités de contrôle. Les citoyens auront la possibilité de s'adresser à un " défenseur des droits " et de contester devant le Conseil constitutionnel, dans le cadre d'une procédure pénale, des dispositions législatives déjà promulguées. Tous les textes de loi et les nouveaux règlements des assemblées découlant de cette révision constitutionnelle n'ont pas encore été adoptés.

Les régimes spéciaux. Contrairement à Alain Juppé en 1995, Nicolas Sarkozy a réussi à réformer les régimes de retraite des salariés de la SNCF, de la RATP, d'EDF, de GDF, etc., dont la durée de cotisation sera alignée, d'ici à 2012, sur celle des salariés du privé. En contrepartie, le gouvernement a intégré les primes dans le calcul des pensions. Une concession, probablement coûteuse mais jamais chiffrée, pour arracher l'accord tacite des syndicats, CGT en tête.

La représentativité des syndicats. Depuis la loi du 20 août 2008, les organisations syndicales doivent désormais peser 10 % dans une entreprise et 8 % au niveau interprofessionnel pour pouvoir négocier et signer des accords. Cette réforme censée renforcer la légitimité de syndicats affaiblis par des années de désyndicalisation va remodeler en profondeur le paysage syndical, donner plus de poids à la CGT et à la CFDT, les deux pôles du syndicalisme français - l'un radical et l'autre réformiste -, au détriment de la CFTC, de la CFE-CGC, de FO, de l'UNSA et de SUD. Elle invite implicitement à des recompositions qui s'annoncent longues.

Le service minimum. La loi du 21 août 2007 l'organise dans les transports terrestres : elle prévoit des règles de concertation, impose aux salariés de se déclarer grévistes 48 heures à l'avance, ce qui permet de réorganiser le service et d'éviter que les voyageurs soient trop pénalisés. C'était le but recherché. Même si, à chaque conflit long dans les transports, resurgit l'idée d'une nouvelle loi encadrant davantage le droit de grève.

La fusion de l'ANPE et des Assedic. Elle est devenue réalité avec la création de Pôle emploi, mais se fait dans des conditions difficiles du fait de l'envol du chômage.

Travailler plus pour gagner plus et moderniser l'économie. Du détricotage des 35 heures à la création du revenu de solidarité active (RSA) en passant par la fin des coups de pouce au smic, la liste est longue des mesures, grandes ou petites, qui ont été adoptées pour revenir sur la réduction du temps de travail et " libérer " l'économie. Plutôt que de toucher à la durée légale du travail, le président a choisi, comme François Fillon l'avait fait avant lui, de contourner les 35 heures. Les heures supplémentaires ont été exonérées d'impôts et de charges sociales (loi TEPA du 21 août 2007) et les possibilités de recours à ce dispositif ont été assouplies dans le cadre de la loi du 20 août 2008. A la frontière du social et de l'économique, le RSA a été créé pour lutter contre la grande pauvreté. Il permet que le retour au travail procure systématiquement des revenus supplémentaires. Il entrera en application le 1er juin en France métropolitaine.

Dans le droit fil de ce qu'ont fait les gouvernements Raffarin et Villepin, plusieurs mesures inscrites dans la loi de modernisation de l'économie du 4 août 2008 simplifient la vie des PME : statut de l'auto-entrepreneur, réduction des délais de paiement, protection du patrimoine personnel des entrepreneurs individuels, etc.

L'autonomie des universités. Adoptée au coeur de l'été 2007, la loi LRU, relative aux libertés et responsabilités des universités, a réformé la gouvernance des universités : réduction à 30 du nombre maximum de membres du conseil d'administration, renforcement du poids du président de l'université. Elle prévoit le transfert aux universités de nouvelles compétences en matière budgétaire, de ressources humaines et de patrimoine immobilier. Depuis le 1er janvier, 18 universités gèrent ainsi un budget " global " intégrant la masse salariale des personnels travaillant dans l'établissement. Les 65 autres universités obtiendront ces nouvelles compétences d'ici à 2012.

La ministre de l'enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a également lancé le plan Campus, qui doit permettre de rénover et de développer, via des partenariats publics privés, douze campus d'" excellence ".

La révision générale des politiques publiques (RGPP). Lancée en grande pompe, la RGPP est restée essentiellement limitée à la réforme de l'Etat : fusion des deux grandes directions de Bercy dans une direction générale des finances publiques et réorganisation de l'Etat territorial. Elle va de pair avec le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, en vigueur dans la plupart des ministères. C'est aussi dans le cadre de la RGPP et dans celui du plan de modernisation de la défense qu'ont été décidées la reconfiguration du ministère d'Hervé Morin et de nombreuses restructurations militaires. La ministre de la justice, elle, a imposé une réforme de la carte judiciaire nettement en deçà du programme UMP, qui prévoyait une cour d'appel par région et un tribunal de grande instance par département. Elle touche principalement des tribunaux d'instance, mais la méthode employée par Rachida Dati et l'absence de concertation ont provoqué un tollé dans les milieux judiciaires.

Le durcissement de la politique pénale. Nicolas Sarkozy, président, a continué à imposer des lois pénales plus dures, comme il l'avait fait en tant que ministre de l'intérieur, avec les lois Perben et contre la récidive. Dès sa nomination, Mme Dati a fait voter la loi sur les peines-planchers, qui prévoit des seuils de peines minimales pour les récidivistes. Appliquée dans environ un cas sur deux, cette loi a contribué à remplir les prisons, d'autant que la loi pénitentiaire, annoncée en même temps, est enlisée.

L'autre grande loi pénale voulue par Nicolas Sarkozy est la création d'une rétention de sûreté. Elle prévoit d'enfermer des criminels dangereux, condamnés à plus de quinze ans de détention, à la fin de leur peine, dans des centres de rétention, sous la tutelle des ministères de la justice et de la santé. Cette loi a été partiellement censurée par le Conseil constitutionnel qui la rend inapplicable avant douze à quinze ans. Le chef de l'Etat a essayé, sans succès, de contourner cette décision. Il est intervenu pour lancer deux autres chantiers : une loi sur les bandes, et la suppression du juge d'instruction, projet qui suscite une vive polémique.

Retour au coeur de l'OTAN et de l'Europe. Le chef de l'Etat a marqué une inflexion dans la politique étrangère française en s'affichant sans ambiguïté dans le camp occidental.

Cette décision a été couronnée par la réintégration complète de la France dans le commandement militaire de l'OTAN en avril. Elle avait été précédée par la réconciliation de la France avec l'Europe de l'Est. Cette évolution a permis à la France, quelque peu marginalisée depuis le non au référendum constitutionnel de 2005, de retrouver sa place en Europe.

Nicolas Sarkozy est sorti de l'impasse en promettant de ne pas recourir au référendum pour négocier un nouveau texte, le traité de Lisbonne. Celui-ci est pour l'instant dans les limbes, bloqué par l'Irlande et la République tchèque. Sa présidence de l'Union européenne (UE), au second semestre 2008, a permis de montrer dans les crises géorgienne et financière que l'Union européenne n'était pas vouée à l'immobilisme et à la division.

L'activisme de Nicolas Sarkozy a conduit à deux réunions du G20, à Washington puis à Londres. Ce forum, appelé à se réunir de nouveau en septembre à New York, est jugé plus efficace que l'ONU, et plus représentatif que le G8, qui ne regroupe que des pays industrialisés.

CE QUI N'A PAS CHANGÉ

En regard de ces réformes d'inégale importance, il y a ce qui paraît immuable : les déficits et la dette, le poids de la dépense publique, le chômage des jeunes, la difficulté à réformer l'éducation nationale et la recherche. Pour ne citer que quelques-unes des exceptions françaises...

Nicolas Sarkozy ne sera ni le président du pouvoir d'achat ni celui des 3 % de croissance. Avec son slogan du " travailler plus pour gagner plus ", le candidat de l'UMP avait su séduire les classes populaires sans s'aliéner les classes supérieures. La loi TEPA comporte des mesures pour les premières (la détaxation des heures supplémentaires) et pour les secondes (le bouclier fiscal, plafonnant à 50 % des revenus impôts directs et contributions sociales ; l'allégement des droits de succession).

La réforme des lois Raffarin et Galland sur l'urbanisme commercial et les relations entre industriels et distributeurs a vu sa portée atténuée par le Parlement. Elle risque d'avoir peu d'effet sur le pouvoir d'achat des ménages. Avec l'aggravation de la crise, il est apparu de plus en plus évident qu'il n'y aurait pas de miracle dans ce domaine - d'autant que les coups de pouce au smic ont été abandonnés - ni dans celui de la croissance.

Déficits, dette et dépenses publiques. En plus de trente ans, la France n'a pas su assainir ses finances publiques. La récession va compliquer la donne. Dans ses prévisions de mars, jugées optimistes par les commissions des finances de l'Assemblée et du Sénat, le gouvernement table sur un déficit public de - 2,9 % du produit intérieur brut (PIB) et sur une dette publique de 78,1 % en 2012. La France reste un champion européen de la dépense publique (54,7 % du PIB en 2009). Son taux de prélèvements obligatoires, que le chef de l'Etat voulait réduire, augmenterait de 42,5 % du PIB en 2009 à 42,9 % en 2012.

Emploi : la continuité l'emporte. La remontée du chômage a remis au goût du jour les contrats aidés, les primes à l'embauche des jeunes et les exonérations de charges pour les entreprises. La France peine toujours à donner du travail à sa jeunesse et à ne pas exclure ses seniors de l'emploi. L'idée du contrat de travail unique a été abandonnée et le dualisme du marché du travail demeure avec, d'un côté, des personnes enkystées dans le sous-emploi et des chômeurs insuffisamment accompagnés, et, de l'autre, des salariés en place mieux formés, mieux payés, mieux protégés. Les professions réglementées, que la commission Attali proposait d'ouvrir, ne semblent guère avoir de souci à se faire, à en juger par l'absence de réforme des taxis.

La politique en faveur des droits de l'homme s'est heurtée à la realpolitik. M. Sarkozy a connu une brouille de plus d'un an avec la Chine en liant sa participation à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Pékin au dialogue avec le dalaï-lama. Ses attaques contre l'autoritarisme russe font partie du passé. L'Union pour la Méditerranée, lancée en grande pompe à Paris en juillet 2008, paraît ne guère progresser depuis le conflit de Gaza de janvier 2009.
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 07:00
Bonne idée que cette initiative de la mutuelle des motards : elle veut promouvoir un accès responsable aux deux roues de grosses cylindrées.

Par ce mécanisme, elle veut éviter les morts dus à la non maîtrise d'un engin coupable d'un grand nombre de victimes sur nos routes...

Un article du journal 'Le Monde' daté du 29 Avril 2009

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Plus de 1 000 motos " label jeune "
La Mutuelle des motards veut favoriser un accès progressif à la maîtrise d'une forte cylindrée   

DEUX-ROUES

Dany, apprenti motard et quadra, fait glisser des yeux amourachés sur la ligne de son premier engin, une BMW 850 R. Philippe, 36 ans, trépigne en attendant de passer l'épreuve de conduite du permis A, le dernier obstacle avant de franchir la porte d'un concessionnaire Suzuki pour s'offrir un maxi-scooter Burgman 650. Cécile, 26 ans, se lamente de s'être brisé une cheville sous un 600 CBR Honda, moins d'un mois après son acquisition. Point commun à ces trois nouveaux motards ? Le choix de leur engin ne tient pas compte de leur inexpérience dans la conduite d'une grosse cylindrée.

Pourtant, selon l'Observatoire national interministériel de sécurité routière, les conducteurs novices sont surimpliqués dans les accidents corporels. Le comportement des nouveaux utilisateurs de deux-roues motorisés " se traduit fréquemment par une prise de risque élevée ou par une non-perception des risques, voire une acceptation des risques... ", explique Régis Guyot dans un rapport intitulé " Les gisements de sécurité routière des deux-roues motorisés " (Documentation française, 2008).

Pour éviter le cocktail accidentogène conducteur débutant + moto surpuissante, plusieurs assureurs refusent de couvrir les novices avec des motos hypersport. La Mutuelle des motards a, elle, inventé un " label jeune " attribué à 1 098 modèles (neuves et occasions) qui permettent un " accès progressif à la maîtrise d'une forte cylindrée ".

" ACHAT PLAISIR "

La hauteur de selle, le poids de l'engin, sa réputation de fiabilité et sa puissance sont les premiers éléments que le débutant doit prendre en compte dans la sélection de sa monture. Certains constructeurs, comme Honda, font du freinage ABS un argument de vente lié à la sécurité.

" Nous préférons que les jeunes motards apprennent à freiner sans, explique Eric Marot, de la Mutuelle des motards, car lorsqu'ils retournent sur un engin avec un freinage classique, c'est une catastrophe. "La mutuelle n'oublie pas que l'acquisition d'une première moto est souvent un " achat plaisir ". La liste établie par l'assureur compte ainsi tous types d'engins susceptibles de répondre aux désirs des motards en herbe. Les amateurs de très grosses cylindrées y trouveront la Yamaha 1100 Bulldog. " Elle a un nom de molosse, mais c'est un gentil toutou ", commente Eric Marot.

Le label a été également attribué à nombre de motos de moins de 80 chevaux et néanmoins vives et " sexy ", comme les 600 Monster de Ducati, la MTO3 de Yamaha ou la Kawasaki ER6-F. Même l'entrée de gamme Harley-Davidson est ouverte aux débutants.

Eric Nunès
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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 07:00
Ah, la super magie du playback ! Britney se fait emmerder sur scène, elle crie, mais personne ne l'entend, alors qu'elle a un micro !

De plus, comme diraient certains commentaires postés sur YouTube, on se demande pourquoi elle a peur puisqu'elle est entourée de flics ! ;)


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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 07:00
Vous connaissez tous cette pub :



Et bien, elle a été détournée et c'est très marrant ! ;)


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9 juin 2009 2 09 /06 /juin /2009 07:00
Un peu de musique des 80s. Je sais que vous adorerez ;)

J'adore leur coupe de cheveux ! ;)
Dead Or Alive, "You Spin Me Round"





J'adorais ça ;)
Fake - Another Brick





C'était cool aussi ça ;)

Sandra - Maria Magdalena





Arf ! Les deux Allemands ! ;)
Modern Talking - You're My Heart, You're My Soul


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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 07:00
Marrant cet article ;) Comme quoi, des fois, faut savoir fermer sa gueule ;)

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Polémique  - Royal condamnée, l'arroseuse arrosée

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      L'UMP a demandé lundi à Ségolène Royal de "dire pardon" à ses deux ex collaboratrices après la décision de Justice rendant définitive sa condamnation pour non versement de salaires.

- le 20/04/2009 - 21h35

L'UMP a demandé lundi à l'ex candidate à la présidentielle de "dire pardon" à ses deux anciennes collaboratrices "victimes de sa non application de la loi de la République", après la décision de la Justice rendant définitive sa condamnation pour non versement de salaires.
 
Dans une décision du 8 avril dernier, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Ségolène Royal contre la décision de la cour d'appel de Rennes qui avait donné raison à deux ex-attachées parlementaires de l'ancienne candidate PS à la présidentielle qui réclamaient depuis 1997 le versement de salaires non payés.


"Ses soi disant excuses à M. Zapatero"
 
Les faits remontent à 1997 lorsque, après la dissolution de l'Assemblée nationale, Ségolène Royal avait licencié, comme tous ses collègues députés, ses  collaboratrices, attachées parlementaires. Les deux femmes l'avaient ensuite attaquée devant le conseil des prud'hommes de Niort, affirmant avoir continué à travailler pour elle pendant la campagne puis jusqu'en juillet, après son entrée dans le gouvernement Jospin.
 
Le conseil des prud'hommes avait accédé à leur demande, mais uniquement pour une période d'environ trois semaines, le temps de la campagne électorale. Insatisfaites, elles avaient alors saisi la cour d'appel de Poitiers qui, en février 2005, avait confirmé cette décision. L'arrêt avait été cassé en janvier 2007 par la chambre sociale de la Cour de cassation parce que la cour d'appel n'avait pas pris en compte de nouvelles pièces versées par les deux plaignantes. L'affaire avait alors été renvoyée devant la cour d'appel de Rennes.
 
En plein affrontement entre l'UMP et Ségolène Royal, le porte-parole du parti présidentiel, Frédéric Lefebvre, s'est demandé, auprès de l'AFP, si cette décision de la Cour de cassation n'était pas "l'explication à tant d'agitation de Mme Royal avec ses soi-disant excuses à Dakar, ses soi-disant excuses à M. Zapatero". "L'UMP demande à Ségolène Royal de dire pardon à ses anciennes salariées victimes de sa non application de la loi de la République", a-t-il ajouté. Invitée lundi soir sur France 2, Ségolène Royal a dénoncé "une exploitation" par l'UMP "d'une maladresse administrative" après sa condamnation définitive.
 

(D'après agence)
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5 juin 2009 5 05 /06 /juin /2009 07:00
Voici un titre des Metallica que j'aime particulièrement...

Il est tiré de l'album décrit, et c'est un titre purement musical (sauf 3 pauvres phrases ;) ).

Bonne écoute ;)


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4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 07:00
C'est un bien piètre spectacle qui s'offre à nous... D'accord, on peut voir le verre à moitié plein : deux records du monde battus ! Mais on peut voir aussi un verre à moitié vide avec des performances qui sèment beaucoup de doute quant à la technologie employée pour battre ces records...

L'article du Monde est plutôt bon : on y rappelle ces principes sans langue de bois...

Un article du journal 'Le Monde' daté du 28 Avril 2009

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Bousquet, vainqueur en eaux troubles
Le Marseillais, avec sa combinaison Jaked contestée, a battu le record du monde du 50 m

NATATION

Que restera-t-il de ces championnats de France ? Un grand vainqueur, d'abord, Frédérick Bousquet ; deux records du monde ahurissants, ensuite, en 100 m et en 50 m nage libre, dont le premier reste en suspens ; et, enfin, une grande perdante, la natation, qui a vu une bonne part de sa crédibilité couler au fond de la piscine de Montpellier avec la polémique sur les combinaisons.

Dimanche 26 avril, la compétition s'est achevée, comme un symbole, par la victoire de Frédérick Bousquet sur 50 m, dans le temps ébouriffant de 20 sec 94. Le meilleur chrono mondial sur la longueur de bassin était jusqu'alors détenue par l'Australien Eamon Sullivan, en 21 sec 28.

Grâce à ce succès en 50 m, qui a suivi son succès en 100 m vendredi 24 avril, Frédérick Bousquet a raflé les deux places qualificatives disponibles sur ces distances pour les championnats du monde, qui auront lieu à Rome cet été. La quête de ces sésames était le vrai enjeu de la compétition.

Dans chacune de ces deux épreuves, sur laquelle se concentrent ses principaux espoirs de victoires, l'équipe de France ne dispose, en effet, que de deux places pour les Mondiaux. Or, Alain Bernard était qualifié d'office en 100 m grâce à sa médaille d'or aux Jeux olympiques. Amaury Leveaux l'était lui sur 50 m, grâce à sa deuxième place à Pékin.

Ne restait alors qu'un ticket, à chaque fois, que Bousquet devait disputer à Leveaux sur 100 m et avec Bernard sur 50 m. Pas une mince affaire. Mais le Marseillais a su se jouer des deux têtes d'affiche de la natation française. Il sera finalement le seul à s'aligner à Rome sur les deux distances du sprint.

Cette histoire de l'outsider qui domine les favoris ferait d'ordinaire le bonheur de la chronique sportive. Las, la polémique sur les combinaisons alourdit la plume et plombe l'ambiance.

EN SUSPENS

Lors de ses deux victoires, Bousquet était revêtu de sa fameuse combinaison Jaked, tout en polyuréthane, qui donne des ailes à ceux qui s'en servent. Les nageurs sous contrat avec d'autres équipementiers n'ont pas trouvé la parade. Sauf, d'une certaine manière, Alain Bernard en demi-finale du 100 m, lorsqu'il a battu, jeudi 23 avril, le record du monde de la distance (40 sec 94). Il portait pour l'occasion une toute nouvelle combinaison fournie par son sponsor Arena, également en polyuréthane.

Mais l'affaire, qui soulevait jusque-là un problème éthique - les combinaisons ne sont-elles pas une forme de dopage technologique, l'équité n'est-elle pas bafouée ? -, a pris un tour réglementaire. Car si la Jaked a été officiellement autorisée par la Fédération internationale de natation (FINA) avant les Jeux de Pékin, l'Arena, elle, n'est qu'en cours d'homologation. Voilà pourquoi le record d'Alain Bernard reste en suspens.

Pour ajouter un degré de complexité à cette polémique, nombreux sont les nageurs qui, en outre, pensent que la Jaked distribuée à l'occasion des championnats de France aux compétiteurs n'est en réalité pas celle que la FINA a autorisé avant Pékin ! Ce serait un modèle autrement plus performant...

Entre ceux qui nagent avec des combinaisons douteuses, ceux qui ont choisi sciemment un modèle non autorisé, et ceux qui se sont drapés dans leur dignité, la compétition a viré au grand n'importe quoi. La fédération française, pratiquant la politique de l'autruche, se félicite des 33 records de France battus - dont 26 en Jaked - en quatre jours. Drôle de spectacle.

P. J.-T.
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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 07:00
J'avais déjà affirmé qu'au Conseil Constitutionnel on abusait de la bouteille, voici la preuve qu'au CSM, on est aussi adepte de l'alcool ! Faudrait qu'ils s'organisent pour faire des commandes en commun entre le CSM et le Conseil Constitutionnel, car vu ce qu'ils boivent, ils pourraient avoir des prix, et cela amoindrirait fortement les dépenses de l'Etat !

Un juge laisse croupir pendant des mois des innocents en prison et il obtient...une réprimande par son organisme de tutelle ! Honteux ! Allez bandes de poivrots, à la bonne vôtre !

Un article du journal 'Le Monde' daté du 25 Avril 2009

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Justice
Le CSM réprimande le juge Burgaud

Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a infligé une " réprimande " au juge Burgaud, vendredi 24 avril, en raison de sa gestion de l'instruction de l'affaire Outreau. Cette sanction, la plus basse dans l'échelle du CSM, annoncée par Europe 1 et lefigaro.fr, est inférieure à celle demandée par la chancellerie, qui avait requis une exclusion temporaire pouvant aller jusqu'à un an de la magistrature.
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