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La SNCF, le Basket, la société, la politique...
En bref : MES TAS DE TRUCS ;)

L'arrêt de mon affaire a été rendu.
- Je suis condamné pour 'refus d'obtempérer' à 150Euros d'amende.
- Je dois en plus 83Euros à la SNCF au titre du PV initial.
- La SNCF a complètement été déboutée de son atteinte à l'image concernant l'arrêt de 20mn en Gare de Moirans. Pour info, elle demandait 2000Euros de dommages et intérêts à ce titre.
- Je dois débourser, au titre de remboursement des frais de justice, 500Euros à la SNCF. Pour info, la SNCF demandait 1000Euros à ce titre.

Un pourvoi en Cassation a été initié.

Je ne ferai pas plus de commentaires sur le dossier en cours, car ce blog est lu et est même très lu par les avocats de la SNCF, qui, n'ayant rien à se mettre sous la dent sur le fond de l'affaire, traquent le moindre de mes dérapages sur ce blog ;)

Donc, pour le moment, je me tais... Mais n'ayez crainte : ce n'est pas parce que je ne parle plus de cette affaire sur ce blog, que je n'en parlerai plus jamais ;)

Il y a énormément de choses à dire et je les dirai en temps et en heure : d'ici là... patience ;)

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De la pub




2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 07:00

Je ne m'en lasse pas. Voir France2 tomber dans le panneau (ou voulant tomber dans le panneau), est grandement jouissif. Voir ce manque de professionnalisme de la part du service public me laisse pantois. Landis était à la rue la veille, remporte l'étape le lendemain en larguant tout le monde, tout ça, à l'eau fraiche ! Et bien voyons ! Arf !

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 07:00

Voilà un journaliste, dopé à la clope qui affalé devant sa télé a cru à un connard dopé jusqu'à la moelle.

Triste... O combien triste de constater la naïveté de ce journaliste.

Landis était laminé la veille et a pris des risques inconsidérés en se dopant comme un mulet pour pouvoir rester dans la course.

Bien entendu, il s'est fait prendre par la patrouille, mais le journaliste n'en démord pas : il reste un grand champion...

On ne sait pas de Landis ou de ce journaleux qui est le plus pathétique des deux.

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 07:00

Les radars sur les routes et la grande sévérité des sanctions a permis d'économiser 4000 morts par an.

Car rien n'est plus précieux que la vie humaine, je préfère largement tous ces gros cons qui chialent et pleurent sur leurs points et permis perdus, qu'une mère de famille qui pleure sur son gosse mort dans un accident de la route.

Comme beaucoup de monde, j'ai aussi perdu des points. Je me suis donc tenu tranquille pendant 3 ans, et j'ai attendu qu'ils reviennent, et ils sont revenus. Bien sûr, c'est chiant de rouler à 90 et de caler l'aiguille pour qu'elle n'aille pas à 96. Bien sûr, c'est chiant de faire attention à tout sur la route et de ne pas dépasser comme un dératé. Bien sûr, c'est chiant, en agglo, de tenir le 50. Mais on connaît tous les règles : elles sont affichées, et bon nombres de radars automatiques sont signalés.

Le type qui se fait prendre est donc un connard de première (et cette phrase vaut aussi pour moi). Quand on est un con, on paie et on ferme sa gueule... pour préserver la vie humaine, car, je le répète, c'est ce qu'il y a de plus précieux.

Mais c'est vrai que c'est beaucoup plus facile de faire l'intéressant dans le journal 'Le Monde' à s'inventer des excuses à la con et à faire sortir les paquets de Kleenex pour son boulot perdu, que de prendre ses responsabilités : on appelle ça la connerie humaine, et elle est sans limite.

Un article du journal 'Le Monde' daté du 25 Août 2010

**************

Automobilistes, et sans permis
Si la politique de sécurité routière porte ses fruits, le système actuel de sanctions suscite des critiques

TéMOIGNAGES

Ils ont entre 20 et 60 ans. Ils conduisent ou ont conduit sans permis. En 2009, sur les 112 584 automobilistes contrôlés sans permis, plus de 43 000 conduisaient malgré le retrait du sésame ou avec un sésame non prorogé ; et quelque 66 000 ne l'avaient jamais obtenu.

Combien sont-ils en réalité ? 300 000, estime l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (Onisr). Ces chiffres, face aux 38 millions de titulaires d'un permis de conduire, semblent pourtant déjà représenter un véritable problème de société.

Pour Philippe Vénère, ancien chef de la 1re division de police judiciaire de Paris, ex-officier du ministère public chargé des procès-verbaux, auteur d'un Manuel de résistance contre l'impôt policier (Max Milo, 2009), " c'est sans conteste l'instauration du permis à points - en 1989 - avec la multiplication des contrôles et des sanctions automatiques qui a poussé les conducteurs à devenir hors-la-loi, malgré eux ".

Perdre ses douze points ou ne pas réussir à parcourir les trois ans requis sans commettre de faute ni écoper d'autres retraits de points afin de les récupérer devient la norme. Quant aux points regagnés après les stages, ils sont, souvent, de nouveau avalés par les flashes des radars...

Découragés par la complexité et la cherté des recours juridiques, certains franchissent la ligne jaune. Didier - qui requiert l'anonymat, comme tous les témoins rencontrés, commercial en matériel agricole, 53 ans et plus de trente ans d'exercice routier -, parcourt près de 8 000 km par mois.

Téléphone portable à l'oreille, petits dépassements de vitesse - entre 10 et 30 km/h sur l'autoroute -, oubli de la ceinture... Ces fautes " légères " ont eu raison de son permis. " Je continue et n'ai rien dit à mon employeur, explique-t-il. Je fais très attention, car évidemment ce que je crains le plus, c'est l'accident. Je vis très mal cette situation. "

En attendant de pouvoir repasser l'examen du code, Daniel, 39 ans, n'a pas le choix non plus : il conduit, l'oeil rivé sur les panneaux. " J'enfreins la loi avec appréhension, concède cet ingénieur en informatique. A l'heure où la voiture est pour beaucoup un outil indispensable pour continuer à travailler, les radars répriment trop aveuglément. "

Luc n'en est pas encore là. Mais, compte tenu des 35 000 km par an qu'il effectue dans le cadre de son métier, il se sent " condamné à plus ou moins brève échéance à perdre son permis de conduire ". Il ne décolère pas face à la traque permanente et " les incessants changements de limitation de vitesse, dont parfois la justification nous échappe ".

Quant à Jean-André, 54 ans, il n'hésite pas : " Sauf infraction grave, je roulerais sans permis si l'on devait me le retirer. " Ce gestionnaire d'un centre de santé en province ne se considère pourtant pas comme un voyou de la route : " J'ai perdu quatre points pour un stop mal placé que j'ai dépassé à l'allure d'un homme au pas. Cette façon d'administrer des punitions sans prendre la peine d'examiner le contexte et les circonstances, cela n'existe dans aucun autre domaine. C'est pour moi contraire aux principes de justice. Je roule 120 km par jour sous le coup d'une menace permanente. "

Jacques Myard, député (UMP) des Yvelines, reprend à son compte cette réplique de Georges Pompidou : " Arrêtez d'emmerder les Français ! ", avant d'expliquer : " La conduite sans permis n'est plus le fait d'une population marginale, mais de personnes qui estiment ne plus avoir le choix ", dénonce-t-il dans une proposition de loi déposée le 19 mai 2009, visant à supprimer le retrait de points pour les petites infractions et à soumettre l'opportunité de l'annulation du permis de conduire en cas de solde de points nul à l'autorité administrative.

Toutefois, pas question pour l'élu " de contester que l'insécurité routière a baissé significativement. Il faut sanctionner fortement les infractions lourdes : vitesse, alcool, cannabis, etc. Mais pourquoi sanctionner des conduites à 56 km/h au lieu de 50 ?... Avec les voitures modernes, on sait qu'il suffit d'un bref appui sur l'accélérateur pour se faire piéger. De plus, il y a des situations absurdes où l'on se fait flasher pour rien ".

Comme M. Vénère, M. Myard déplore " cette politique basée essentiellement sur la répression, accroissant le nombre de permis invalidés au point qu'aujourd'hui rares sont les conducteurs réguliers ayant encore la totalité de leurs points, chacun étant susceptible de commettre une légère infraction ".

Ce n'est pas l'avis du ministère de l'intérieur, pour qui peu de conducteurs perdent leur permis à la suite de petites infractions. Pas non plus celui de la plupart des associations pour la sécurité routière, qui lient les suspensions de permis par accumulation de perte de points à l'alcoolémie et à la grande vitesse... Pourtant, les statistiques 2009 du ministère placent en avant-dernière position le nombre d'infractions pour alcoolémie, loin derrière la vitesse, les règles de circulation, de priorité et de port de ceinture ou de casque...

M. Vénère va plus loin, accusant " cette machine à pognon qui a fait passer le service public au service des citoyens à un service exclusif de la trésorerie publique. Des juges de proximité, non magistrats, traitent les réclamations des contraventions. Ils prennent des décisions sans argumentation, les jugements ne sont pas motivés "...

Et ceux qui ont respecté la règle suprême (sans permis, ils ne conduisent plus) ? Guy, 59 ans, a perdu le sien à la suite de petites infractions. Il travaillait dans l'audiovisuel et transportait les équipes de tournage et des journalistes. " Il faut répondre aux uns et aux autres. Comment ne pas écoper de contraventions, même en étant prudent ? " Il a pu trouver un autre poste dans son entreprise. Dans quelques jours, il repasse le code.

Patrick, 56 ans, chauffeur de grande remise, n'a pas eu la même chance, et perçoit aujourd'hui le revenu de solidarité active (RSA). " J'ai repassé avec succès mon permis grâce à des aides (...). Mais mon nouveau permis est considéré comme probatoire pour trois ans. Cela m'interdit de reprendre une activité de chauffeur de grande remise. "

Quant à ceux qui ont conduit sans jamais avoir eu le permis, ils avancent son coût prohibitif, et condamnent l'organisation commerciale des auto-écoles. Ainsi, Sébastien, 37 ans, et Romain, 30 ans, aujourd'hui en règle, ont conduit sans permis respectivement pendant sept et trois ans.

Mélina Gazsi

    * 9 millions de points retirés en 2009

      Selon les données du ministère de l'intérieur, sur les quelque 6 millions d'infractions qui ont été traitées en 2009, plus de 9 millions de points ont été retirés et plus de 90 000 dossiers d'annulation de permis ont été instruits. La nature des infractions se répartit de la manière suivante : 4,8 millions d'infractions ont eu lieu à la suite d'un excès de vitesse (les statistiques ne précisent pas la part des infractions où la vitesse est supérieure de 20 km/h à la limitation), 590 000 pour non-respect des règles de circulation, 221 000 pour ignorance des règles de priorité, 167 000 pour non-usage de la ceinture ou du casque, et 142 000 pour -alcoolémie.

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 07:00

Ca, c'est plutôt caustique ! Cet article du journal 'Le Monde' daté du 19 Août 2010 nous apprend que Sakozy a des origines... Rom !

Arf ! Décidément, ce type là, m'étonnera toujours !

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Ces Roms qui s'appellent Sarközi

Hormis les syllabes d'origine hongroise de leur nom et un goût affirmé pour la politique, ils n'ont pas grand-chose en commun : l'un, Nicolas Sarkozy, est chef de l'Etat français, et glabre ; l'autre, Rudolf Sarközi, visage rond et fières moustaches grisonnantes, n'est que conseiller d'arrondissement à Vienne, où il a travaillé jadis comme éboueur. Il est aussi le porte-parole le plus connu en Autriche de la communauté rom, un groupe protégé, depuis 1993, au même titre que les autres minorités - slovène, hongroise, tchèque, croate ou slovaque - issues de l'ancien empire des Habsbourg.

" Au Burgenland, à la frontière avec la Hongrie, il est possible d'enseigner dans les écoles publiques en langue romani ", rappelle au Monde M. Sarközi, né en 1944 dans un camp de concentration. Vieux militant du Parti social-démocrate SPÖ, il suit avec inquiétude les mesures prises par les autorités françaises contre les Roms venus de Roumanie et de Bulgarie. " Bien sûr, on ne peut laisser se développer des campements sans contrôle, il ne s'agit pas non plus de défendre la délinquance ou l'oisiveté. Mais si on offrait à ces gens des terrains où ils puissent vivre dignement, ce serait un pas vers l'intégration. Le point capital, qui exige le plus d'efforts, étant la formation des jeunes ", souligne celui que l'extrême droite a surnommé " le roi tzigane ".

Un patronyme typique

Un million d'euros, reliquat des sommes allouées aux Roms autrichiens par le Fonds national d'indemnisation des victimes du nazisme (9 000 Roms et Sinti, sur 12 000 recensés avant-guerre, ont été exterminés), a été investi dans une fondation d'aide à la formation des jeunes, à condition qu'ils donnent des preuves de leur bonne volonté. Sédentarisés de longue date, les Roms autrichiens restent trop souvent en marge ; leur nombre est estimé à quelque 30 000, sur 8,3 millions d'habitants, grâce aux immigrants poussés par les guerres interethniques dans l'ex-Yougoslavie. " Nous avons alors connu des situations de précarité semblables à ce qu'on voit en France aujourd'hui ", relève M. Sarközi. En février 1995, un attentat à la bombe avait tué quatre Roms à Oberwart, dans le Burgenland, suscitant l'émoi en Autriche. Depuis cet épisode, attribué à l'extrémiste solitaire Franz Fuchs, qui s'est suicidé en prison, le calme est revenu.

Mais M. Sarközi déplore que sa communauté, comme dans les autres pays d'Europe, soit trop peu présente dans le champ politique. Les choses étaient sans doute plus simples à l'époque féodale, quand le comte Batthyany accordait sa protection aux Roms du Burgenland et les plaçait sous l'autorité exclusive de leur " voïvode " (chef régional), un certain Martin Sarközi. Ce " voïvode " peut-il avoir une lointaine parenté avec la famille hongroise de Nicolas Sarkozy - version francisée de Sarközi -, anoblie en 1626 par l'empereur d'Autriche ? " Qui sait ? ", se demande Rudolf Sarközi, qui note que ce patronyme est typiquement rom...

Joëlle Stolz (Vienne, correspondante)

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27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 07:00

Voici un très bel article du secrétaire général du Syndicat de la Magistrature. Il y  montre que dans le discours de notre ministre de la justice, il y a deux poids deux mesures. Elle prend la plume pour défendre ses camarades mais oublie de la prendre pour défendre la justice.

Un article du journal 'Le Monde' daté du 14 Août 2010

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Mais où est donc passée la ministre de la justice ?

Le 29 juillet, en ce temps bientôt (déjà ?) ancien où une certaine " affaire Woerth-Bettencourt " défrayait la chronique, Michèle Alliot-Marie publiait dans Le Monde une tribune gravement intitulée " Pour l'honneur de la justice ". Se posant en gardienne intransigeante d'une institution judiciaire " sereine, impartiale, indépendante ", la ministre d'Etat s'en prenait violemment à ceux qui dénonçaient une justice " aux ordres " face à ce scandale impliquant des responsables politiques, économiques et judiciaires.

Plus solennelle que jamais, la garde des sceaux affirmait : " Il est de mon devoir de préserver la justice de toute pression, qu'elle soit hiérarchique, politique ou médiatique (...). La justice n'appartient ni au gouvernement ni à une poignée de spécialistes du bruit médiatique. Indépendance et impartialité en sont les vertus premières. Les remettre en cause pour des motifs de basse politique est préjudiciable à la confiance des Français en leur justice, et donc à la société tout entière. " Depuis, silence radio.

Pourtant, les occasions n'ont pas manqué, ces derniers temps, pour de telles déclamations. Un nouveau record de " pression " exercée sur la justice par certains " spécialistes du bruit médiatique " pour " des motifs de basse politique " a même été enregistré. Outre que le chef de l'Etat et plusieurs de ses porte-parole ont encore court-circuité la Place Vendôme en annonçant avec fracas une kyrielle de mesures juridiquement (et démocratiquement) aberrantes, ils ont souvent manifesté un goût prononcé pour l'intrusion dans ce " cours de la justice " si cher à Michèle Alliot-Marie.

Ainsi Nicolas Sarkozy n'a-t-il pas hésité à déclarer à Grenoble, alors que plusieurs enquêtes sont en cours : " Les forces de l'ordre ont été prises à partie par des assaillants qui se sont permis de leur tirer dessus à balles réelles avec l'intention de tuer. Ce sont des tentatives de meurtre (...). Des policiers ont fait l'objet de menaces de mort (...). Je veux leur dire que nous n'aurons aucune complaisance, aucune faiblesse vis-à-vis des délinquants et criminels qui seront mis hors d'état de nuire et dont la seule place est en prison (...). L'homme qui est tombé sous le tir d'un policier venait de commettre un braquage. - Les policiers - ont riposté en état de légitime défense. "

" Présumé coupable "

Autre juge autoproclamé, Eric Ciotti a écrit à propos des mêmes événements : " Un criminel multirécidiviste, armé d'un fusil automatique, muni d'un gilet pare-balles ne dissimule que peu ses intentions. " Quant à Brice Hortefeux, beaucoup plus attaché à la présomption de son innocence qu'à d'autres (rappelons qu'il a été récemment condamné en première instance pour injure raciale), il est allé jusqu'à qualifier un mis en examen de " présumé coupable ", avant de préciser avec brio qu'il s'agissait seulement de son " opinion ", au demeurant parfaitement " claire "...

Mais où est donc notre ministre de la justice pour mettre celle-ci " à l'abri de l'intervention des individus et des tumultes de la conjoncture " ? Sans doute au même endroit que notre ministre des libertés qui, après la décision à effet retard du Conseil constitutionnel sur la garde à vue, n'a pas précisé aux magistrats comment faire respecter la Constitution jusqu'à la modification de la loi... Mieux, la directrice des affaires criminelles et des grâces les a invités, le 30 juillet, à violer quotidiennement nos textes fondateurs en appliquant les " dispositions (anticonstitutionnelles) du code de procédure pénale en vigueur jusqu'au 1er juillet 2011 " !

La chancellerie pouvait et devait tirer immédiatement les conséquences de cette décision - mais aussi d'une bonne quarantaine d'arrêts de la Cour européenne des droits de l'homme - pour que, sans attendre, les personnes placées en garde à vue jouissent de leurs droits élémentaires. Il en est ainsi de " l'honneur de la justice ", selon Michèle Alliot-Marie : Philippe Courroye et Eric Woerth méritaient bien une tribune.

Matthieu Bonduelle

Secrétaire général du Syndicat de la magistrature

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 07:00

Si vous en avez marre des pubs dans les films, celui-là, n'est pas fait pour vous...

 

Sinon, c'est un must du genre avec une mention spéciale pour l'accent chti de Ronald ;)

 

 

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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 07:00

Encore une superbe chanson des Dream-Theater, l'histoire d'une mère qui a perdu sa fille subitement tombée malade et dont les médecins n'ont pu rien faire...

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 07:00

Je suis tombé sur un article d'un journal de foot parlant du contexte musical de la coupe du monde 1982. Et les gagnants, sont... les Iron Maiden ;)


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Rock Around The World Cup : 1982, "The number of the beast"
Les Cahiers du football | 10.06.10 | 10h48  •  Mis à jour le 10.06.10 | 12h23

Le Malin. Lucifer. Belzébuth. Satan. Le Diable tout simplement. Nombreuses ont été ses appellations au cours des siècles. En football, la RFA est son incarnation. Jamais dans l'histoire du ballon rond une équipe n'aura autant empêché la France d'accéder au paradis suprême de la Coupe du monde. Seuls ses joueurs pouvaient interdire à Michel Platini de connaître le bonheur d'une finale mondiale. Karl-Heinz Rummenige était la bête noire, Harald Schumacher le bourreau.

CHEIKH YOUR BOOTY

Après le tournoi argentin quelque peu honteux, l'édition de 1982 prend place dans une Espagne post-franquiste qui respire depuis peu l'air de la démocratie. Les favoris sont nombreux : l'Argentine, championne du monde en titre, l'Angleterre qui revient après douze ans d'absence, le Brésil de Zico et Socrates, l'Italie, qui sort du Totonero, le scandale des paris clandestins, l'Allemagne championne d'Europe en 1980 et enfin l'Espagne pays organisateur.

L'équipe de France est prometteuse. Mais après ses vingt-sept premières secondes dans la compétition, Bryan Robson refroidit sous le soleil de Bilbao les ardeurs tricolores. La rencontre contre le Koweit est une promenade de santé. Mais elle restera épique. En effet, à dix minutes de la fin, alors qu'Alain Giresse permet à la France de mener 4-1, un cheikh koweïtien descend sur la pelouse et demande à l'arbitre d'annuler le but. L'arbitre, complètement dépassé par la tournure des évènements, revient sur sa décision et ramène le score à 3-1. Les joueurs et Michel Hidalgo sont furieux, la confusion est totale.

Finalement, après un bon quart d'heure d'interruption, la partie reprend et Maxime Bossis marquera le quatrième but à la 90e minute. Les Français obtiennent par la suite leur ticket pour le second tour et héritent d'une poule plus qu'abordable en compagnie de l'Irlande du Nord et de l'Autriche, qui a terni la compétition en s'inclinant volontairement contre la RFA en match de poule, permettant à cette dernière de se qualifier au détriment de l'Algérie. Diabolique.

INSTRUMENT DE TORTURE

Hasard ou coïncidence, c'est le jour de l'anniversaire de la naissance du Christ que le bassiste Steve Harris et le guitariste Dave Murray fondent Iron Maiden en 1975. Fer de lance de la New Wave Of British Heavy Metal, le groupe anglais mettra quelques années avant de trouver la formation qui fera sa célébrité mondiale. Après un premier album homonyme en 1980 puis Killers l'année suivante, le chanteur originel Paul Di'Anno quitte les autres membres, remplacé par Bruce Dickinson qui officiera ainsi sur The Number Of The Beast, le troisième opus du groupe en 1982.

L'imagerie et le concept d'Iron Maiden sont tout bonnement parfaits : un nom tiré d'un instrument de torture datant du Moyen-Age et une mascotte-squelette à cheveux longs, Eddie, qui terrorise entre autres l'Amérique puritaine et assurera à Iron Maiden une identification instantanée. Ce troisième album est par ailleurs celui du succès planétaire : il s'en écoule plus de dix millions d'exemplaires et le groupe enchaîne une tournée de cent cinquante dates. Les riffs de Number Of The Beast, d'Invaders ou bien encore de Run To The Hills font rêver tous les métalleux de cette période et même au-delà. Quant aux références au diable, à la pendaison, au massacre des Indiens ou au Village des Damnés, elles confèrent à Iron Maiden une réputation sataniste dont il sait se délecter avec un recul et un second degré non feint.

MORTS UN 8 JUILLET

Le second degré importe peu à l'Allemagne, qui termine première de sa seconde phase de poule, en éliminant l'Angleterre et l'Espagne. Elle retrouve ainsi la France pour une demi-finale dramatique et inoubliable. Nous sommes le 8 juillet au stade Sanchez Pizjuan de Séville devant 70.000 spectateurs. Pierre Littbarski ouvre la marque après dix-huit minutes de jeu. Platini lui répond sur penalty moins de dix minutes plus tard. La partie est indécise, haletante. Intense. On est alors au cœur de la seconde période. Le capitaine français lance d'une superbe ouverture Patrick Battiston, rentré à la place de Bernard Genghini quelques instants plus tôt. Un ballon qui passe au ras du poteau gauche, un gardien allemand qui décapite le défenseur. Six-mètres. Battiston est évacué sur une civière. Il aura passé dix minutes sur le terrain. Schumacher y reste et donne la victoire à son équipe lors de la séance des tirs aux buts, après une prolongation monumentale. Mais l'Italie en finale se charge de punir cette RFA calculatrice. Il faut dire qu'elle a un héros, Paolo Rossi, qui est revenu de l'enfer du Totonero et de deux années de suspension. Qui a battu le Brésil avec un triplé au cours d'un match de légende. Qui a battu la Pologne avec un doublé. Et qui inscrit le premier but de la troisième victoire transalpine en Coupe du monde. Quand on revient de l'enfer, on n'a plus peur de la Bête.

 

En bonus, les paroles ;)

"Woe to You Oh Earth and Sea, for the Devil sends the beast with wrath because he knows the time is short, Let him who have understanding reckon the number of the beast for it is a human number, Its number is six hundred and sixty six".

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 07:00

Je suis tombé sur une vidéo où Dream Theater a repris l'intégralité de leur premier album pour les 15 ans de la sortie de celui-ci.


Dans ce contexte, tous les anciens membres ont été réunis :
Charlie Dominici qui était le chanteur lors de la sortie de l'album
Derek Sherinian qui a été clavier au sein du groupe

Ce qui est dommage c'est que James Labrie ne soit pas au niveau lors de ce show. Mais ce n'est pas grave : James Labrie a été longtemps bien meilleur que Charlie Dominici, il est juste que, de temps en temps, les rôles soient inversés ;)



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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 07:00
Comme son nom l'indique cette campagne de pub prend aux tripes et est réellement insoutenable...
Ceci dit, la Sécurité Routière peut faire les campagnes de pub qu'elle veut... Vu que l'automobiliste, quand il rentre dans sa bagnole, perd 30 points de QI, rien ne remplacera jamais les radars sur les routes, car, pour l'automobiliste, l'insoutenable c'est quand on touche à son porte-monnaie.
C'est con, mais c'est comme ça : l'automobiliste est par essence un imbécile heureux (...je sais de quoi je parle, je suis moi même automobiliste ;) ), la Sécurité Routière, tout le monde s'en bat royalement les couilles tant que ça n'arrive qu'aux autres... Mais, cela n'arrive-t-il nécessairement qu'aux autres ?
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